ATTENTION AUX TROUS ! (Ce site est en construction...)
Le psychophilosophe praticien est un professionnel de l’accompagnement à la découverte de soi et au cheminement humain par l’éducation de l’esprit et l'observation des émotions. Issu du champ d'études des Sciences Humaines et Sociales, il a été formé à la psychologie et à la philosophie pratiques au sein d'universités et/ou par l'intermédiaire de ses pairs eux-mêmes issus de cursus universitaires en psychologie et en philosophie.
Le cadre théorique du psychophilosophe praticien crée un pont en la psychopratique en relation d’aide et la consultation philosophique. Son but est d’amener l'individu qui le consulte à considérer ses préoccupations actuelles sous de nouvelles perspectives en observant ses habitudes de pensées et son rapport au monde. Pour cela, le psychophilosophe praticien utilise les outils du philosophe praticien (problématisation, conceptualisation, exemplification, argumentation et questionnement socratique) en les adaptant au cadre intime de la psychopratique humaniste-existentielle. Ce contexte sécurisant favorise la description des ressentis et l'accueil des émotions. Afin de garantir la qualité de sa démarche, il respecte le Code de Déontologie du Psychophilosophe Praticien.
Ce qui différencie principalement le psychophilosophe praticien du psychopraticien est son orientation éducative non thérapeutique ainsi que le caractère ponctuel des entretiens. Il se distingue également du philosophe praticien par la place qu'il accorde à la parole du consultant et à l'observation des émotions.
Le psychophilosophe praticien peut exercer auprès de différents publics (adultes, enfants, particuliers, professionnels, étudiants...). Dispensant principalement des consultations existentielles, il peut aussi être amené à transmettre ses connaissances pratiques en psychologie et/ou en philosophie.
→ Pour plus d’informations, consultez les rubriques
“Ce qui ralentit l'homme dans sa progression, c'est sa fascination pour son propre passé.”
(B. Werber, Le Père de Nos Pères)
Rédigé par Inès Saint-Germain, le 03/05/25